Quand SuperGirl vient à ma rescousse !

Alex & Robyn ♥

«Tout est drôle, dès l'instant que ça arrive aux autres.»

*Il faisait nuit noir, il était surement 1 heure du matin à présent. J'avais travailler toute la journée et une bonne partie de la nuit, je m'y était plongé entièrement. Corps et âme, je ne voulais plus penser à cette affreux ouragan qui avait tout anéanti dans ma vie, et avait pris ma mère avec lui. Au volant d'une vieille voiture d'occasion que j'avais été obligé d'acheter parce que ma vieille Mustang était bonne pour la casse à présent. Elle non plus n'avait pas survécu à l'ouragan. Alors c'est au volant d'une vieille Berline bleu que je frayais un chemin dans la nuit, ou tôt le matin. J'étais exténué, j'avais juste envie de m'écrouler dans mon lit et ne plus me réveiller. Je fronçais les sourcils en entendant la voiture crachoter de plus en plus fort , s'arrêtant en quelques spasme avant de ne plus avancer du tout. Je soupirais lasse, quelle m*rde ! Je réessayais de démarrer la voiture à plusieurs reprise mais elle ne voulait vraiment plus avancer. J'envoyais un violent coup sur le volant, je grimaçais sous la douleur. Mes blessures au points était encore vive : ce qu'il en coutent de taper dans un mur. Je soupirais à nouveau avant de sortir de la voiture, je regardais autour de moi. Aucune trace de civilisation, des palmier, et des plaines. Rien que ça à perte de vu. Je sortis mon téléphone de ma poche : Une dépanneuse, la police peu importait du moment qu'on me sorte de cette merde et que je regagne mon lit douillet. Je regardais mon Blackberry qui s'était éteint : Plus de batterie. Je tapais du pied en renversant la tête en arrière, avant de hurler.*

-Merde !!!!!!

*Je rangeais mon téléphone dans la poche de mon short , j'inspirais un bon coup. J'allais devoir faire un peu de mécanique, quel arnaque cette voiture ! Je retroussais mes manche avant d'ouvrir le capot de la voiture, je fis un bond en arrière quand la fumée me sauta au visage. Je me frottais les yeux en toussant, cette odeur de souffre était insupportable. Je rageais intérieurement avant de m'assoir au milieux de la route, ça y est je suis fichu. Je regardais autour de moi, chaque bruit me faisait sursauter. C'était là que la jeune blonde du début se fait assassiner dans les film d'horreur sinistre. Oh bon sang , je manque de sommeil : je perd la tête. Je vois des monstre partout : bravo ! Je me pris la tête entre les main, qu'on vienne me sortir de là , pitié !*

« Alex & Robyn»

<3

L’après-midi était passé et Alex se préparait pour aller travailler. Depuis maintenant sept mois, elle travaille comme serveuse au Lucky Leon’s un bar très branché de Port-Hudson. Elle alla dans sa chambre prendre un jean et l’enfila suivi ensuite de sa chemise bien ses converses. Puis elle se dirigea vers la salle de bain pour se maquiller. Elle mit un peu de crayon noir sur ses yeux marron. Et soudain, un petit moment d’absent. Alex repensait à ses parents tout deux disparus après le passage de l’ouragan « Serena ». Elle n’a jamais fait véritablement le deuil d’eux. Depuis ce jour, Alex s’était refermée sur elle-même. Elle sortie de ses pensées morbide et se dépêcha. Alex prit ses clés et son casque. Elle claqua la porte…

Alex entra dans l’ascenseur. Les portes se fermèrent. Arrivée au parking, elle monta sur son vespa. Elle mit ses écouteurs, avec la lecture aléatoire. Avant de partir, elle mit son casque. Sur la route il n’y avait pas trop de monde. Alex se faufila entre les voitures. Alex n’était pas très prudente quand elle conduisait seule. Il lui était d’ailleurs arrivé de se faire de belles frayeurs. Mais quand elle roulait, elle ne pensait plus à rien, et se sentait plus légère, libre..invincible.

Une fois arrivée, près du bar, elle se gara, puis elle entrait dans le bar, en enlèvent son casque. « Salut tout le monde ! ». Alex alla dans les vestiaires pour poser ses affaires. Le Lucky Leon’s alla bientôt ouvrit ses portes et tous les jeunes, alcooliques, et autres personnes allaient pouvoir venir boire des litres d’alcool et danser sur des rythmes endiablés toute la soirée. Alex enchaîna les commandes, whisky, vodka, tequila, bière et demande de numéro de téléphone de la part de personne ivre. Le plus souvent, elle rigolait et rentrait dans le jeu des clients, histoire de ne pas avoir d’embrouille. Mais quand ses derniers allaient un peu trop loin, Alex n’hésitait pas à être plus direct.

Deux heures du matin, le monde commença à partir. Alex débarrassa les dernières tables de tous ses verres et bouteilles vides. Elle passa aussi un coup de balai par terre pour nettoyer toutes les merdes laissées par les clients. La soirée était enfin terminée et Alex allait rentrer chez elle. Avant de partir, Lindsay, une serveuse avec qui elle travaillait, lui proposa un shoot tequila. « Un, deux, trois » Elle but cul sec. Alex fit une petite grimace. « Bon j’y vais à demain ».

Alex reprit la route. Il faisait très sombre sur la route. Elle était peut-être pas prudente, mais elle avait quand même allumé les phares de son scooter. Elle continua sa route. Quant au loin, elle aperçu un voiture. Un accident ? Elle espérait que ce soit autre chose…une panne d’essence par exemple. Alex s’arrête donc sur le bas côte et descendit. Elle levait son casque et avançait directement vers la voiture avec la peur au ventre. En général c’est toujours dans ces moments là, que quelqu’un surgit derrière toi pour te tuer ou un truc du genre.

Elle continua d’avancer avec la boule au ventre, elle se demandait même pourquoi elle s’était arrêtée, ce n’était pas son genre. Soudain, elle aperçu quelqu’un, son cœur s’accéléra et quand elle vit que c’était une fille de son âge, la pression redescendit…

ALEX – Vous avez un problème ? Vous allez bien ? – Elle s’approcha de la jeune fille surement aussi apeuré qu’elle… - Je peux vous aider ? – Dit-elle.

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Dernière édition par Alex J.Callaway le Dim 24 Avr - 23:37, édité 2 fois

Assise au milieu de la route, je commençais à avoir froid ; Je me sentais plus seule que jamais, je détestais rester seule. C'était dans ces moments là, que mes démons intérieure trouvaient le moyen de me torturer. Je repensais à la l'enterrement de ma mère, la seule personne de ma famille qui avait toujours était là pour moi. Elle m'avait élevé seule, elle avait fait de moi celle que j'étais aujourd'hui. Elle m'avait donner le courage d'affronter la vie, une bonne éducation et c'était grâce à elle que j'étais moi. Je m'allongeais sur le sol dur et rugueuse , je regardais les étoiles. J'étais consciente que si une voiture passait par là, il ne me verrait et me passerait surement dessus mais j'en avais rien à faire. J'étais perdu dans mes pensées. Pourquoi est-ce que je me donnais tant de mal à refuser tout ce sentiment que je ressentais à l'égard d'Evan , c'était si fort ! Mais je me l'était promis, je refusais de tomber amoureuse ; Il finirait par se lasser de moi, et il irait voir ailleurs . Je ne voulais pas souffrir comme ma mère par le passé, alors pourquoi cela me faisait tant de mal ? Je secouais légèrement la tête en regardant toujours le ciel, j'avais bien envie de m'en coller de belle. Je tombais amoureuse, je devais me ressaisir et vite. Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas vu Donovan, il me manquait beaucoup. J'avais besoin de savoir comment il allait , j'avais besoin de lui pour me rassurer ; J'avais besoin de sentir que je n'étais pas seule. Je n'avais plus eu de nouvelle d'Hanna depuis qu'elle avait quitté mon meilleur ami, sur ce coup là : Elle avait fait fort ! Je la haïssait pour ce qu'elle avait osé faire à Donovan, il ne le méritait pas. Il méritait le meilleur, c'était une personne génial qui avait droit au bonheur et elle était parti avec. Je sortis violemment dans mes pensées en entendant un bruit de moteur, je sautais sur mes jambes . Je voyais la silhouette d'une moto non loin, je pensais tout de suite au pire ! Je ne voulais pas tomber nez-à nez avec un motard bourré qui m'embarquerait de force, oh non ! Non merci. Mon cœur battait de plus en plus vite au fur et à mesure que l'engin approchait, je filais me cacher derrière ma voiture. Accroupi au sol, j'espérais qu'il ne s'arrêterait pas, kit à passé la nuit ici. Je passais ma main dans mes cheveux nerveusement, je cherchais dans mon sac de quoi me défendre au cas où cette personne s'arrêtera. Rien d'autre que mon Black XS et un vieux pistolet à bille pas chargé. Quel poire, qu'est-ce que je foutais avec ça, moi ? Je le pris dans mes main, on ne sait jamais. J'entendis l'engin s'arrêter, puis quelques bruit de pas suivirent. Je soufflais un bon coup, les pas se rapprochais ; Je finis par me relever le faux pistolet, qui faisait si réaliste à la main. Je restais planter là, en attendant le mystérieux individu. Je soupirais de soulagement en apercevant une jeune femme,pas très grande mais plus grande que moi tout de même, à peu près le même âge que moi . Dieu, j'ai eu une de ces trouille, bon sang ! Je souris tout en m'avançant vers elle , je hochais la tête rassurée.
«Ça va merci, c'est juste ce tas de féraille qui m'a lâché .» , lui avais-je répondu . J'en avais complètement oublié mon faux gun à la main. Je lui souriais, je n'avais jamais été aussi heureuse de croiser une personne. Et c'est quand elle me demanda si elle pouvait m'aider, que j'eus envie de me jeter dans ses bras en chantant et sautillant. Mais je gardais mon calme et mon petit sourire polie et charmant.
«Si vous êtes doué en mécanique, je suis preneuse ! »

« Alex & Robyn»

<3

Alex était le genre de fille à être totalement serviable. Pourtant en cet instant, elle maudissait cette qualité. Elle s’avança prudemment, un pas après l’autre, avec un regard qui cherche partout. Elle se disait qu’une seule chose « Qu’est que je fous ici ». Pas courageuse pour un sou, elle s’avança tout de même dans la pénombre, bientôt les phares de son vespa n’éclairaient plus grand-chose. Elle était effrayée tout autant que la jeune femme en face d’elle qui devait croire que c’était un serial killer près à la violer ou autre.

… - «Ça va merci, c'est juste ce tas de ferraille qui m'a lâché.»
ALEX – C’est vraiment pas de chance, surtout que sur cette route, il y a rarement du monde.

Alex se sentait en cet instant, assez fière d’elle. Sûrement que la personne en face d’elle préférait la voir à elle plutôt qu’un gros pervers envieux d’en faire son quatre heure.. En imaginant la scène, Alex était assez écoeurée.

… - «Si vous êtes doué en mécanique, je suis preneuse ! »

Callaway se mit à rire. Elle douait en mécanique ? Mais même pas en rêve. Elle et la mécanique, ça devait faire dix, et encore je suis gentille. Elle connaissait des filles plus douées qu’elle dans ce domaine, mais elle, elle n’y connaissait rien du tout. C’est à peine si elle savait changer une roue. Enfin, elle pourrait y arriver mais pas sur que la roue tienne, et si vous ne voulez pas finir sur trois roues, autant attendre une dépanneuse

ALEX – Enfaite..vous êtes tombé sur la mauvaise personne, je ne suis pas douée en mécanique, mais vraiment pas..Je peux simplement vous ramenez chez vous, et demain vous appellerez une dépanneuse ou un truc du genre.

Elle lui sourit. La jeune femme avait l’air totalement dépité, comme si c’était un enchaînement de mauvaise nouvelle qu’elle subissait. Alex se languissait de rentrer chez elle, elle avait eu une longue soirée. Mais cet imprévu avait fait qu’elle avait oublié sa fatigue pour se concentrer sur la situation.

ALEX – Oh faite, moi c’est Alex..Vous habitez Port Hudson ? car j’y habite depuis des années, et on ne s’est jamais croisé. – ou alors elle ne s’en souvient pas. – et on peut se tutoyer aussi si vous voulez..

Alex ou l’art de parler pour ne rien dire. Il est vrai qu’elle ne connaissait pas la blonde qu’elle avait en face d’elle et de ce fait, elle ne savait pas quoi lui dire. Puis à en voir l’attitude de la jeune femme, elle pourrait très bien être faire partie de la bande à Alex. Sortir un pistolet en plastique pour faire peur à son sauveur est tout à fait dans la trempe d’Alexie.

ALEX – Tu comptais vraiment menacer quelqu’un avec ton arme en plastique ? – Il est vrai qu’au départ, Alex n’avait pas été rassuré en voyant le jouet, mais elle comprit ensuite, qu’il était faux..trop léger pour paraître vrai.

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